Le poème du Nobel de Boris Pasternak traduit par Jean-Luc Moreau en 1959.
Boris Pasternak Poème du prix Nobel Aux abois comme une bête,Lumière, hommes, liberté,Quels chemins lorsque s’apprêtentLes piqueurs, dois-je emprunter ? La
« Quoi que fassent ceux qui règnent chez eux par la violence et hors de chez eux par la menace, quoi que fassent ceux qui se croient les maîtres des peuples et qui ne sont que les tyrans des consciences, l’homme qui lutte pour la justice et la vérité trouvera toujours le moyen d’accomplir son devoir tout entier.
La toute puissance du mal n’a jamais abouti qu’à des efforts inutiles. La pensée échappe toujours à qui tente de l’étouffer. Elle se fait insaisissable à la compression ; elle se réfugie d’une forme dans l’autre. Le flambeau rayonne ; si on l’éteint, si on l’engloutit dans les ténèbres, le flambeau devient une voix, et l’on ne fait pas la nuit sur la parole ; si l’on met un bâillon à la bouche qui parle, la parole se change en lumière, et l’on ne bâillonne pas la lumière ». VICTOR HUGO
Boris Pasternak Poème du prix Nobel Aux abois comme une bête,Lumière, hommes, liberté,Quels chemins lorsque s’apprêtentLes piqueurs, dois-je emprunter ? La
Être ému, c’est être mis en mouvement, comme peut nous le rappeler l’étymologie. L’émotion ne se réduit pas à ce
Entretien Terre à Ciel : Jean Le Boël répond aux questions de Cécile Guivarch à propos de la Maison de Poésie
« La poésie est morte, dit-on de toutes parts. Pour nous, nous n’en croyons rien ; nous croyons seulement qu’au milieu de préoccupations plus vives, le goût de la versification s’affaiblit et disparaît pour un temps. »
É. Sommer,
Petit Dictionnaire des rimes françaises. Librairie Hachette, 1894. (Exemplaire utilisé et annoté par Émile Blémont).
« La Poésie a manqué de dignité et en est punie par le dédain qui la fait considérer comme une
Depuis plus d’un centenaire, la poésie est menacée et on prédit sa disparition prochaine. Or, ce qui est intéressant, c’est
La Maison de poésie est une Fondation créée par les dispositions testamentaires d’Émile Blémont. Elle a été reconnue d’utilité publique